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L’Afrique doit être au centre de la révolution de l’IA

posté par Le Hub de la Finance Digitale , le 10 juin 2024
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Accès au réseau, investissements dans les infrastructures et la formation, lutte contre la « fracture numérique ». Un peu moins d’un an après avoir pris ses fonctions, le Nigérian Alex Okosi, directeur général de Google pour l’Afrique, livre ses analyses en exclusivité pour « Jeune Afrique ». Entretien vidéo.

Neuf mois qu’il préside aux destinées de Google sur le continent africain. Alex Okosi, nommé directeur général de la branche africaine du géant californien Google, en septembre 2023, veut faire de l’amélioration de l’accès à Internet l’un de ses principaux chevaux de bataille. « Il y a encore une énorme fracture numérique », constate-t-il. Et pour régler cela, il y a deux axes : « Réduire les coûts, et, bien sûr, renforcer l’usage. »

Renforcer les moyens des start-up :

Il y a, assurément pour Google, un intérêt certain de développer ce marché continental aux potentialités titanesques, particulièrement en termes de collecte de data, modèle économique sur lequel repose le mastodonte américain. Mais Alex Okosi, qui a accordé un entretien vidéo exclusif à Jeune Afrique, en marge de l’Africa CEO Forum qui s’est tenu les 16 et 17 mai 2024 à Kigali*, affirme qu’il s’agit également pour lui d’une forme de « mission » au service des jeunes du continent. « Nous voulons nous assurer que l’Afrique soit au centre de la révolution de l’intelligence artificielle », martèle-t-il, avec un leitmotiv : « Comment nous assurer que les jeunes puissent réellement obtenir les emplois de demain ? »

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