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Interopérabilité – une perspective réglementaire

posté par Le Hub de la Finance Digitale , le 19 mai 2019
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David Cracknell et Venkata N. Attaluri,  septembre 2017

Basé sur les précieuses contributions de : Amrik Heyer, FSD Kenya, Stephen Mwaura, ancien directeur des paiements, banque centrale du Kenya, Uma Shankar Paliwal, ancien directeur exécutif, RBI, Dennis Njau, directeur des canaux, Kenya Commercial Bank, Gang Chai, Directeur de la politique de paiement, Banque centrale du Nigeria et Johnah Nzioki d’Eclectics.

Lors d’un récent atelier organisé par le Helix Institute de MicroSave Consulting (MSC), les principaux acteurs du secteur des services financiers digitaux, y compris les fournisseurs, les régulateurs, les agrégateurs et les fournisseurs de technologie, se sont réunis pour délibérer sur les moyens novateurs de relever les principaux défis auxquels sont confrontés les réseaux d’agents. Ils se sont répartis en trois groupes pour examiner les questions clés dans le contexte de : 1. la politique et la règlementation ; 2. la stratégie et l’évolution du marché ; 3. les opérations.

Les pays du monde entier en sont à différentes étapes de l’évolution des systèmes de paiement. Il existe différents niveaux d’interopérabilité tels que définis par la Better Than Cash Alliance, à savoir, l’interopérabilité entre pairs, l’interopérabilité des agents, l’interopérabilité des marchands et l’interopérabilité complète des systèmes.

Interopérabilité de pair à pair : les institutions se connectent individuellement les unes aux autres;

Interopérabilité des agents : les agents sont capables d’effectuer des transactions entre fournisseurs ;

Interopérabilité des commerçants : les commerçants peuvent accepter les paiements de n’importe quel fournisseur ;

Interopérabilité complète des systèmes : des institutions, des banques, des opérateurs de services financiers mobiles ou les deux se connectent à une plate-forme commune ou à un commutateur, facilitant ainsi les transactions.

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